• La solution pour sortir durablement de la crise économique et financière se trouve dans la base de données internes de l’entreprise, ces informations stockées depuis plusieurs années par votre cartographie des risques et votre système d’information comptable.

    I- Quelques constats

    1- Carences de la gestion d’actifs :

    L’une des révélations de la crise a été les manques constatés dans le dispositif de gestion d’actifs (asset management) par une trop grande concentration sur l’IAS39/Instruments financiers au détriment de l’IAS36/Dépréciation d’actifs.

    Ariane Obolensky, la directrice générale de la Fédération Bancaire Française a opportunément pointé du doigt les deux carences à corriger par de nouvelles compétences à intégrer : le contrôle et la comptabilité (Les Echos, 4/12/2009).

    Cette remarque est valable aussi bien pour les banques que pour l’industrie :

    - Ces carences concernent en effet les pertes de risque opérationnel et les pertes de risque de marché et de risque de crédit en rapport avec le risque opérationnel : une articulation du front et back offices.

    - Le procédé qui articule le contrôle (contrôle interne périodique et contrôle interne permanent) et la comptabilité générale est la comptabilité dynamique.

     

    2- Conséquences de la crise sur votre société, groupe ou filiale:

    - Vos performances  se sont considérablement détériorées;

    - La restructuration de votre dette a permis de rééchelonner les emprunts,

    - Les frais financiers devraient sensiblement s'accroître.

     

    II- Diagnostic de votre situation

    Qu’est-ce que vous avez déjà fait et qu’est ce qui reste à faire ?

    A- Ce que vous avez déjà fait :

     

    1- Plan d'économies de coûts :

    - Votre groupe a fixé des objectifs d'économies ;

    - Les filiales sont soumises à un programme d’efforts sous la forme d'une restructuration;

     

    2- Déclarations prévisionnelles :

    - Votre groupe tient des Journées annuelles d’information des investisseurs ou publie un rapport annuel ;

     

    3- Prise en compte dans le pilotage des indicateurs génériques, facteurs ou causes à l’origine des pertes du risque opérationnel:

    -Accidents de travail : « Sécurité et santé » sont une préoccupation permanente et votre groupe a adopté un plan risques psychosociaux ;

    -Ecarts de know-how : formation continue et benchmarcking entre les services ou usines du groupe les plus performants pour le transfert de savoir-faire et de meilleures pratiques ;

    - Absentéisme : intégration dans l’évaluation des salariés (présentéisme) et l’affectation du salaire variable;

    - Ecarts de productivité directe : réduction des écart des temps et des frais d’opérations ;

    - Défauts de qualité : démarche qualité intégrée à l’activité.

     

    B- Ce qui vous reste à faire : carences techniques à combler

    Tout ce que vous avez déjà fait  restera sans effet tant que vous n’aurez pas doté votre entreprise d’un support logiciel de pilotage de la performance opérationnelle requis par la réglementation prudentielle en vigueur:

    - Pour articuler le passé, le présent et le futur des bases de données de votre groupe, société ou filiale ;

    - Pour intégrer la problématique des écarts dans le pilotage de la performance ;

    - Pour donner à chacun des membres de personnel la capacité à réduire les écarts en temps réel.

    1/Capacité à traiter les données d’indicateurs COREP (Historiques d’événements de pertes inattendues enregistrés par votre cartographie des risques):

    Les informations stockées dans une cartographie des risques ou base de données internes d’événements de pertes ne vous servent à rien, si vous ne disposez pas d’un logiciel pour assurer :

    - l’importation et la correction de la marge d’incertitude des données d’événements de pertes enregistrés;

    - l’intégration aux données de source externe socio-économique de votre secteur  d’activité.

    - Calcul des pertes inattendues (UL) = données de sources internes + données de sources externes.

     

    2/ Capacité à éviter la sanction réglementaire requise pour le ratio de solvabilité et les fonds propres requis :

    La VaR d’une entité (perte brute) constitue un gisement d’avantages économiques futurs en valeur ajoutée si l’entité dispose de l’outil de support en immobilisation incorporelle adéquat :

    « Les avantages économiques futurs résultant d’une immobilisation incorporelle peuvent inclure les produits découlant de la vente de biens ou services, des économies de coûts ou d’autres avantages résultant de l’utilisation de l’actif par l’entité »  (IAS38, §17/ Intangible assets, règlement CE n° 2236/2004)

    Si votre système de risk management (immobilisation incorporelle) ne vous permet que d’estimer la VaR, par exemple par des modèles statistiques ou probabilistes. Avec ces procédés vous demeurez dans la logique de la sanction :

    - Sanction que vous devez d’abord vous infliger vous-même : multipliez la VaR estimée par 12 pour déterminer les fonds propres de couverture de vos risques opérationnels ;

    - Sanction que le régulateur peut aggraver en exigeant une augmentation des fonds propres.

     

    Il peut même arriver que parce que votre entreprise occupe une position stratégique, le trésor public et le plan de relance vous apportent un supplément de fonds. Ne vous faites pas d’illusions. Vous n’êtes pas tirer d’affaires :

    - Aux Etats-Unis le groupe CIT,  le spécialiste américain du crédit aux petites et moyennes entreprises, qui avait reçu 2,3 milliards de dollars en décembre 2008 du trésor américain, a lancé le 1er novembre 2009, une procédure de dépôt de bilan, le groupe se trouvant dans l’impossibilité de se refinancer après la crise financière internationale. Le groupe avait 71 milliards d'actifs;

    - Il s'agit de la quatrième plus grosse faillite de l'histoire américaine après celle de Lehman Brothers l'année dernière (639 milliards d'actifs), World Com en 2002 (104 milliards) et General Motors (91 milliards).

    - Des exemples similaires sont nombreux en France, en Grande Bretagne, en Allemagne, etc. (cf. Banques et industries automobiles).

     

    La solution n’est donc pas dans l’accumulation des actifs ou amoncellement des fonds propres.

    3/ Capacité de vos pratiques internes à traiter les données d’indicateurs FINREP (historiques des comptes de résultat et du bilan):

    a)- Processus gaussien de comptabilité analytique des écarts cumulés pour le calcul des EL (Pertes attendues);

     

    b)- Calcul la VaR (Value-at-Risk, perte brute ou perte potentielle maximum) = UL + EL ;

    c)- Calcul du seuil  historique de risk appetite (seuil de tolérance générant les pertes constatées) ;

     

    d)- Retraitement du bénéfice économique, des objectifs de performance de réduction de pertes OPR exigées et des budgets:

    - « La réduction d’exigence de fonds propres résultant de la prise en compte de l’assurance ne peut pas dépasser 20 % de l’exigence de fonds propres totale au titre du risque opérationnel avant prise en compte des effets des techniques de réduction du risque » (CRD,  article 371-3)

     

    4/Tableaux de bord de contrôle du pilotage en temps réel et de réduction des pertes mises en correspondance avec les indicateurs génériques pour l’atteinte des objectifs de performance :

    -L’absentéisme (toutes les formes de non présence au travail),

    -Les accidents  du travail et risques psychosociaux (santé et sécurité),

    -Les défauts de qualité (non qualité),

    -Les écarts de productivité directe (surtemps, surconsommation des frais d’opérations),

    -Les écarts de know-how (savoir-faire, dont le développement intégré de la polyvalence).

     

    Sans traitement des coûts et calcul de l’impact de la prévention sur la marge sur coûts variables le programme engagé sur ces éléments reste qualitatif alors que votre comptabilité n’enregistre que les données quantitatives et financières :

    - Sans les tableaux de mesure de la performance ajustée pour le risque (MPAR), les contreparties des sorties de trésorerie pour ces programmes ne peuvent ni être vérifiées ni comptabilisées.

     

    5/: Articulation des reportings pour le traitement du salaire variable et des fonds propres:

    - Reporting COREP (Common reporting)

    - Reporting des performances de GRH et des salaires variables (Primes ou Bonus) correspondant au COREP;

    - Reporting FINREP (Financial reporting).

    Les bonus, primes ou rémunérations variables s’inscrivent dans l’équation de la performance opérationnelle en « sorties de trésorerie nécessaires au maintien du niveau des avantages économiques » au titre de l’IAS36, § 46-49. La déclinaison française de  la décision du G20 de Pittsburgh l’a clairement notifié:

    - Le montant de l’enveloppe consacrée à la rémunération variable ainsi que sa répartition au sein de l’entreprise assujettie doivent être déterminés en tenant compte de l’ensemble des risques, y compris du risque de liquidité inhérent aux activités concernées, ainsi que du capital nécessaire eu égard aux risques encourus (Arrêté du 3 novembre 2009 du ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi).

    On trouve la même prescription dans le corpus de règles «handbook » du FSA (Financial Services Autority), l’autorité britannique des marchés.

     

    III- Valeur d’utilité du système logiciel requis :

    Aux termes de l’IAS36/Dépréciation d’actifs, la valeur d'utilité est la valeur actuelle des flux de trésorerie futurs susceptibles de découler d'un actif ou d'une UGT :

    -Vos logiciels sont des actifs intangibles

    -Vos lignes d’activité ou sociétés filiales sont des unités génératrices de trésorerie (UGT).

    Le modèle d’actif de support connu à ce jour pour le pilotage de la performance opérationnelle des UGT, avec articulation des reporting GRH, COREP et FINREP, est l’ERM-VaR3000 (http://www.riskosoftcorp.com):

     

    1/ SUPPORT DE FACILITY MANAGEMENT  DE LA PERFORMANCE 

    La problématique principale du Facility Management est d'améliorer la qualité des prestations dans le cadre d'une réduction des coûts :

    - VaR3000 permet d’aller au-delà des prestations de services aux bâtiments et aux occupants.

     

    2/ SUPPORT DE FIABILITE DES DECLARATIONS PREVISIONNELLES:

    Le document des déclarations prévisionnelles du groupe et des filiales contient des informations tant sur les projections et  estimations financières que sur les hypothèses sur lesquelles elles reposent : plans, objectifs et attentes relatives aux opérations, produits et services et performances futurs.

     

    Les précautions d’usage relatives aux risques et incertitudes du bénéfice opérationnel ne suffisent plus :

    - Ces risques et incertitudes comprennent ceux qui sont abordés ou identifiés dans les documents déposés ou à déposer auprès de l’autorité des marchés financiers, dont le Rapport annuel.

    VaR 3000 comble les manques relatifs à la VaR et à son traitement prévisionnel.

     

    3/ SUPPORT DE CONFORMITE AUX NOUVELLES EXIGENCES REGLEMENTAIRES :

    A travers les procédés de Mesure de la Performance Ajustée Pour le Risque opérationnel, VaR3000 est intègre les trois règles fondamentales désormais requises pour réduire la marge d’incertitude des déclarations prévisionnelles et du rapport annuel:

    A- L’Amendement FINREP de l’IAS1/Présentation des états financiers (Règlement CE No 108/2006):

    - Informations à fournir pour permettre aux utilisateurs des états financiers d’évaluer les objectifs, politiques et procédures de gestion du capital : informations qualitatives  et données quantitatives synthétiques sur les éléments inclus dans la gestion du capital

    B- La déclaration du G20 de Pittsburgh sur le salaire variable (Bonus ou primes) qui s’inscrit dans le prolongement de la CRD articule le COREP et l’amendement de l’IAS1/Présentation des états financiers (Règlement CE No 108/2006);

    C- L’évaluation continue du plan de prévention des risques psychosociaux réglementés par la typologie des indicateurs COREP (Directive CRD).

    Pour aller plus loin téléchargez les plaquettes sectorielles (Banques, Assurances et Industries) sur www.riskosoftcorp.com

     


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  • 1/ Conséquences de la crise économique sur votre société ou votre groupe :

    - Vos performances  se sont considérablement détériorées;

    - La restructuration de votre dette a permis de rééchelonner les emprunts, néanmoins les frais financiers devraient sensiblement s'accroître.

    2/ Plan d'économies de coûts :

    - Votre groupe a fixé des objectifs d'économies ;

    - Les filiales sont soumises à un programme d’efforts sous la forme d'une restructuration;

    3/ Support de comptabilité dynamique à un management basé sur la performance opérationnelle :

    Déclarations prévisionnelles :

    - Votre groupe tient des Journées annuelles d’information des investisseurs ou publie un rapport annuel ;

    Indicateurs de pilotage intégrés par le management de votre groupe:

    -Accidents de travail : « Sécurité et santé » sont une préoccupation permanente et votre groupe a adopté un plan risques psychosociaux ;

    -Ecarts de know-how : formation continue et benchmarcking entre les services du groupe les plus performants pour le transfert de savoir-faire et de meilleures pratiques ;

    - Absentéisme : intégration dans l’évaluation des salariés et l’affectation du salaire variable;

    - Ecarts de productivité directe : plans d’économie ;

    - Défauts de qualité : démarche qualité intégrée à l’activité.

    4/ Contraintes réglementaires de restructuration auxquelles votre groupe doit se conformer:

    Les flux de trésorerie futurs doivent être estimés pour un actif dans son état actuel.

    Les estimations des flux de trésorerie futurs ne doivent pas inclure des entrées ou des sorties de trésorerie futures estimées susceptibles de résulter:

    a) d’une restructuration future dans laquelle l’entreprise ne s’est pas encore engagée, ou

    b) de l’amélioration ou de l’accroissement de la performance de l’actif (IAS36 § 44).

    Dès lors que l’entreprise s’est engagée dans la restructuration, les estimations des entrées et des sorties de trésorerie futures, pour la détermination de la valeur d’utilité, reflètent les économies de coûts et autres avantages résultant de la restructuration (sur la base des budgets/prévisions financiers les plus récents ayant été approuvés par la direction) (IAS36 § 47a).

    5/ Contraintes d’enrichissement du système ERM en place en logiciels supplémentaires

    Les systèmes implantés aux étapes du cycle organisationnel précédent de pilotage de la performance demandent à être actualisés conformément à la réglementation prudentielle en vigueur.

    1- L’ajustement au titre de l’IAS36, la directive CRD et l’amendement de l’IAS1/Présentation des états financiers (Règlement CE No 108/2006) se fait par arrimage des interfaces d’actifs de support d’économie de coûts au système informatique existant sans le modifier,

    2- Ceci permet de valoriser l’investissement déjà réalisé, notamment sous le pilier 1 de Bâle2 :

    « Les actifs de support sont des actifs autres que le goodwill, qui contribuent aux flux de trésorerie futurs » (IAS 36, § 19c).

    3- La réglementation prudentielle complétée depuis le 25 septembre 2009 par la décision du G20 de Pittsburgh sur le salaire variable entraîne une évolution du système en place, notamment les modèles statistiques (VaR, Monte Carlo, …), vers le modèle de comptabilité dynamique capable de mesurer la performance ajustée pour le risque au niveau des lignes d’activité, des individus, du groupe et de ses filiales


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  • BANQUES, votre livre de COMPLIANCE & TECHNOLOGIES pour maîtriser la sortie de la crise: VOLUME 1 - Après la crise des subprimes, LE NOUVEAU PARTENARIAT SOCIAL, Editions scientifiques Peter Lang S.A., Berne.

    POUR COMMANDER :

    t.waser@peterlang.com

    Editions scientifiques internationales Peter Lang S.A.

    Hochfeldstrasse 32 - 3012 Bern

    Tel  0041 31 306 17 17 / Direct 0041 31 306 17 13

    Fax 0041 31 306 17 27

    www.peterlang.com

    RESUME

    L’ERM (Enterprise risk management) a acquis ses lettres de noblesse en tant que comptabilité bancaire et  de contrôle du risque de contrepartie (Client interne et client externe) au sommet du G20 de Pittsburgh. Ainsi les rémunérations variables devront être liées aux performances des individus, de leurs équipes et de leur groupe et le versement des bonus sera lié aux exigences de capitalisation: les établissements insuffisamment capitalisés seront tenus par leur régulateur national de limiter le versement des bonus.

    Ce livre issu de près de 15 ans de recherche-action et de la pertinence des tests d’automatisation des processus actifs-passifs (Bonus-malus), est le premier à implémenter les pratiques internes de comptabilité dynamique de GRC (Gouvernance, Risque et Conformité) requises pour cet objectif.

    Le volume 1 dédié aux établissements de crédit, entreprises d'investissement et d'assurances, fournit les modes de calcul de la VaR (perte brute), des seuils de tolérance des risques (Risk appetite) et du retraitement du bénéfice économique sur la base des PPR (Pertes potentiellement recouvrables). Des tableaux de bord inédits de MPAR (Mesure de la Performance Ajustée Pour le Risque) articulent la GRH (Gestion des Ressources humaines), le COREP (Common reporting) et le FINREP (Financial reporting). Particulièrement efficaces pour la prévention des risques psychosociaux (burn-out, stress, souffrance au travail, harcèlement moral, etc.), ils mettent en œuvre des budgets de rémunération variable ou de bonus qui reposent sur des stratégies de Récompense Maximum Commune (RMC) contraires aux stratégies de Récompense Maximum Individuelle (RMI).

    PREFACE : Pr. E. FRAGNIERE

    Professeur-chercheur rattaché au CRAG (Centre de Recherche Appliquée en Gestion) de la HEG et co-fondateur de la formation en gestion des risques à la HEG et à HEC de lUniversité de Genève, Emmanuel Fragnière est également Lecturer à la School of Management de l'Université de Bath en Angleterre. Auparavant, il a été Commodity Risk Analyst chez Cargill (Effectif : 156 000 en 2008 dans 66 pays) et Conseiller Scientifique au sein de l'audit interne de la Banque Cantonale Vaudoise (Effectif : 1 914 en 2008 dans 67 succursales). Il est spécialiste de la gestion du risque opérationnel. Il a publié dans plusieurs journaux académiques tels que Interfaces et Management Science.

     

    AUTEUR : P. LELE.

    Professeur de management accounting, Psychosociologue expert en dynamique des organisations, Fondateur de Riskosoft Corporation et du Réseau de collaboration interuniversitaire « MPAR», associant laboratoires d'économie appliquée, banques et  entreprises à la recherche-action de Mesure de la Performance Ajustée Pour le Risque et de Prévention des Risques Psychosociaux, Pascal LELE est titulaire d’un Ph.D de l’Université Laval (Canada) et d’un doctorat de l’Université René Descartes (Sorbonne – Paris V). Il met sa formation pluridisciplinaire au profit des entreprises et des organisations internationales en qualité d'expert et de consultant.

     


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  • INDUSTRIES, votre livre de COMPLIANCE et TECHNOLOGIES pour maîtriser la sortie de la crise : VOLUME 2 - Après la crise des subprimes, LE NOUVEAU PARTENARIAT SOCIAL, Editions scientifiques Peter Lang, Berne.

    POUR COMMANDER :

    t.waser@peterlang.com

    Editions scientifiques internationales Peter Lang S.A.

    Hochfeldstrasse 32 - 3012 Bern

    Tel  0041 31 306 17 17 / Direct 0041 31 306 17 13

    Fax 0041 31 306 17 27

    www.peterlang.com

     

    RESUME

    L’ERM (Enterprise risk management) a acquis ses lettres de noblesse en tant que comptabilité d’entreprises et  de contrôle du risque de contrepartie (Client interne et client externe) au sommet du G20 de Pittsburgh. Ainsi les rémunérations variables devront être liées aux performances des individus, de leurs équipes et de leur groupe et le versement des bonus sera lié aux exigences de capitalisation: les établissements insuffisamment capitalisés seront tenus par leur régulateur national de limiter le versement des bonus.

    Ce livre issu de près de 15 ans de recherche-action et de la pertinence des tests d’automatisation des processus actifs-passifs (Bonus-malus), est le premier à implémenter les pratiques internes de comptabilité dynamique de GRC (Gouvernance, Risque et Conformité) requises pour cet objectif.

    Le volume 2 dédié aux sociétés de marché, PME et entreprises du secteur public, fournit les modes de calcul de la VaR (perte brute), des seuils de tolérance des risques (Risk appetite) et du retraitement du bénéfice économique sur la base des PPR (Pertes potentiellement recouvrables). Des tableaux de bord inédits de MPAR (Mesure de la Performance Ajustée Pour le Risque) articulent la GRH (Gestion des Ressources humaines), le COREP (Common reporting) et le FINREP (Financial reporting). Particulièrement efficaces pour la prévention des risques psychosociaux (burn-out, stress, souffrance au travail, harcèlement moral, etc.), ils mettent en œuvre des budgets de rémunération variable ou de bonus qui reposent sur des stratégies de Récompense Maximum Commune (RMC) contraires aux stratégies de Récompense Maximum Individuelle (RMI). 

    PREFACE : D. BERTAUX.

    Daniel Bertaux est un expert reconnu de la gestion des risques qu’il pratique depuis près de trente années. Ingénieur de formation, il a occupé des fonctions d’administrateur, de vice-président et secrétaire général dans plusieurs associations de risk managers, tant aux niveaux national, européen que mondial.

    Il a enseigné comme maître de conférences à l’Université de Louvain (Belgique) et pendant près de vingt ans, il a été collaborateur scientifique auprès de la faculté d’Administration des Affaires de l’Université de Liège (Belgique). Il forma et pilota le comité d’étude belge du standard ISO / FDIS 31000 (Risk Management Principles and Guidelines).

    Daniel Bertaux exerce actuellement les fonctions d’expert senior en Risk Management au corporate d’ArcelorMittal, 1er sidérurgiste et 28ème groupe mondial (Effectif: 320 000 salariés dans plus de 60 pays). Il y est également auditeur interne des systèmes de management de la sécurité et spécialisé dans les audits de conformité des sites qualifiés de «Seveso». Il s’implique également dans les analyses de gouvernance d’entreprise.

    AUTEUR : P. LELE.

    Professeur de management accounting, Psychosociologue expert en dynamique des organisations, Fondateur de Riskosoft Corporation et du Réseau de collaboration interuniversitaire « MPAR», associant laboratoires d'économie appliquée, banques et  entreprises à la recherche-action de Mesure de la Performance Ajustée Pour le Risque et de Prévention des Risques Psychosociaux, Pascal LELE est titulaire d’un Ph.D de l’Université Laval (Canada) et d’un doctorat de l’Université René Descartes (Sorbonne – Paris V). Il met sa formation pluridisciplinaire au profit des entreprises et des organisations internationales en qualité d'expert et de consultant.

     


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  • FONDEMENTS

    La comptabilité dynamique des processus actifs-passifs de Gouvernance, Risque et Conformité (GRC) est désormais au cœur du MANAGEMENT, du CONTROLE INTERNE, de l’AUDIT et de la QUALITE; elle synthétique ce qu’on appelle aujourd’hui « sciences comptables ».

    La comptabilité dynamique s’est constituée par la nécessité d’articuler la comptabilité financière soucieuse de la gestion des pertes de risque opérationnel et des pertes de risque de marché et de crédit en rapport avec le risque opérationnel, à la comptabilité générale soucieuse de la fiabilité des états financiers publiés et les exigences de gestion des ressources humaines soumises aux contraintes de performance et de création de la valeur.

    Le projet gouvernemental français de partage de la valeur ajoutée par une réglementation du salaire variable pour loi ou accord entre les partenaires sociaux s’inscrit dans ce cadre.


    De nombreux facteurs montrent qu’il y a urgence à combler le déficit d’informations en techniques de comptabilité dynamique qui gène actuellement les banques et les corporates dans leurs efforts d’élaboration des plans d’économie de coûts pour pérenniser les gains et sortir durablement de la crise :

    - les négociations qui ont suivi le stress test des banques américaines,
    - la fermeture par certaines universités comme Paris DAUPHINE de la section « analyse financière »,
    - le drame interminable qui s’est joué pendant de longs mois chez Chrysler et chez General Motor,
    - la situation des entreprises qui en viennent à suggérer à leur personnel d’accepter une diminution de salaires,
    - les conflits sociaux d’une violence inégalée et qui sont devenus permanents sur le partage de la valeur ou sur les fermetures et délocalisations d’usines.


    FORMATIONS CONCERNEES DANS LES UNIVERSITES et GRANDES ECOLES:
    - Finances,
    - Economie et gestion,
    - Comptabilité,
    - Gestion des ressources et humaines,
    - Communication)

    POINTS D’IMPACT
    - Optimisation et évaluation du poste de travail (Maîtrise des pertes de risque opérationnel)
    - Optimisation et évaluation du poste client (Maîtrise des pertes de risque de crédit et de risque de marché en rapport avec le risque opérationnel)


    CONCORDANCE AVEC LES BESOINS PRIORITAIRES

    Une enquête réalisée récemment par le groupe ACCENTURE indique qu’une large majorité (85 %) des dirigeants d’entreprise estime que leur approche en matière de gestion des risques a besoin d’être repensée pour améliorer la performance de leur entreprise, tirant ainsi les enseignements de la situation économique actuelle. La performance passe par l’amélioration du système d’économie de coûts.

    - L’enquête a été réalisée dans 21 pays auprès de 260 directeurs financiers, directeurs des risques et autres cadres dirigeants ayant des responsabilités en matière de gestion des risques au sein de grandes entreprises : CFO-new http://www.cfo-news.com/La-majorite-des-dirigeants-d-entreprise-estiment-necessaire-de-revoir-leur-approche-en-matiere-de-gestion-des-risques_a11301.html


    OUVRAGES DE BASE DES PRATIQUES D’ENTREPRISES et D’ENSEIGNEMENTS

    Pour le secteur des corporates (Industries et Services/Grands comptes et PME) cliquez sur :

    http://www.cfo-news.com/Competitivite-comparee-de-l-industrie-sur-la-base-des-plans-d-economie-de-couts_a11353.html

     

    Pour le secteur financier (Banques et Assurances) cliquez sur :

    http://www.cfo-news.com/Competitivite-comparee-des-banques-sur-la-base-des-plans-d-economie-de-couts_a11307.html

     

    Pour consulter les avis d’experts qui ont lu le manuscrit complet des ouvrages d’applications sectorielles cliquez sur http://www.riskosoftcorp.com

     

    Pour en savoir plus sur l’auteur: http://www.cfo-news.com/links/Les-auteurs-CFO-news_ai17005.html

     


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